La Moore, Mika et moi
Depuis que ce sacré Père Noël a déposé un iPod shuffle dans mes sabots birkenstock pur feutre, ma vie a basculé dans une nouvelle dimension. Le iPod, tout shuffle qu'il soit, il y a quand même beaucoup de place dedans et donc un grand espace pour télécharger (légalement sur iTunes, cela va de soi) des nouvelles ziques. Autant dire que je m'en donne à coeur joie, sachant que c'est un plaisir purement égoïste et que je n'oblige personne à partager mes goûts. Quoique.
Ma dernière découverte, date du Taratata de vendredi et ce garçon est tellement fabuleux que je ne peux pas m'empêcher de vous parler de Mika. D'la bombe, je ne vous dis que ça, et ce n'est pas mon amie Ginger qui me contredira. Je vous laisse découvrir ces envolées lyriques qui nous rappellent la grande époque de Freddy Mercury et Queen sur son site, là et pour le reste... Attendez je reprends mes esprits, je vais prendre une douche froide et me vautrer dans la neige, j'appelle Harry pour lui dire que tout est fini entre nous, et je vous cause de Mika et de sa gueule d'ange, de sa pêche qui vous file la banane, de son humour (en témoigne sa chanson Grace Kelly, entre autres). Faut que je me calme, je sens que je suis de nouveau atteinte du syndrôme de La Moore (Demi de son petit nom). Et là je ne suis pas sûre que les compétences médicales de mon amie Ginger, d'autant plus un jour de Saint-Valentin, puisse soigner cet attrait irrémédiable pour les petits jeunes. Ce n'est pas moi qui le dit, mais le ELLE de la semaine dernière en faisait sa couverture et la légende de ladite couv' était on ne peut plus explicite : "À 44 ans, Demi Moore n'a jamais été aussi éclatante. Son secret de jeunesse ? Le bonheur avec son jeune mari Ashton Kutcher." Ben tiens, comme si du temps de Bruce Willis, elle était moche, vieille et triste.
Mais revenons en à "Mon Nombril" et à Mika. Je partirais bien au bout du monde pour soigner mon éclat de jeunesse et l'écouter me chanter "Love today". D'ailleurs j'ai déjà préparé mes bagages et je me suis fabriqué un petit sac assorti à ce superbe gri-gri porte-bonheur offert par mon amie Sophie. Ce tissu n'attendait (hum, depuis 6 ans) que ce petit bijou pour devenir un sac bien pratique pour partir chez les inuit. Je l'ai doublé de mohair pour lui donner un peu de tenue et le rendre réversible.
Sur ces propos purement nombrilistes, vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale.